PROTEST AGAINST SEAL HUNTING

In English:

Seal hunting in Canada is the largest and most cruel massacre of marine mammals in the world.

Hunters, armed with sticks, rifles and hakapiks, kill in atrocious way hundreds of thousands of baby seals each year. These animals, mainly slaughtered for their skin which will be used by the fashion industry, are repeatedly beaten until their brains are crushed. 97% of killed animals are less than 3 months old. The skin of many of them is removed while they are still conscious. A team of independent veterinarians demonstrated in 2001 that up to 42% of baby seals are butchered alive and this, regardless of the method used to kill them. Videos prove numerous offences to the Canadian marine mammals regulations. They show baby seals bled or skinned alive and dragged on the ice with sharpened hooks... 

Hunting seal pups is prohibited. A seal pup is less than 12 days old and has a white fur, but when the fur begins to change, hunting is permitted. And yet 15,000 furs of seal pups and blueback seals have been seized in Newfoundland. Several hunters were charged, possibly including Mark Small, President of the Seal Hunters Association, who claimed that no baby seals had been killed. Even if the seal population remains abundant, there may be a threat of extinction.

Scientific studies have proven that overfishing is responsible for the decrease in the number of fish, including cod. The massacre of baby seals will not contribute to increasing the cod population. It is not proven that seals are responsible for the lack of fish. According to scientists, they eat very little cod. Culprits are fishing and fish consumers downstream (hence the necessity to promote veganism as an ethical way of life for the animals as well as for environment). Females eat very little around the birth of their pups in the Atlantic. They then go back to the Arctic where they mainly feed on arctic cod, a non-"commercial" specie.  Atlantic cod is found in less than 2.5 sampled stomachs.  

Fishermen are overfishing. When there is no more fish, there is no more work; fishermen then ask for grants. Slaughter of animals without defence supported by Canadian taxpayers is economically not viable. Ecotourism brings in hundreds of thousands of dollars - much more than dead seals. While the Canadian Government claimed that seal hunt was justified by the scarcity of fish in the Atlantic, in particular cod that seals eat, this argument is now classified on the Canadian Government's official website as a "myth!" "Reality" is finally given:

"Several factors have contributed to impede the recovery of cod stocks, including fishing, the poor condition of fish, their low growth rate and environmental changes."

The reason for the collapse of the fish population has never been in doubt: years of intensive fishing. No justification or scientific basis can establish a link between the number of seals and the depletion of fish. Scientists even believe that reducing the seal population may actually do the opposite because seals eat squid, which are one of cods' predators. Everyone is now in agreement on one point: seals massacre does not bring back cod population.

The Canadian Government uses the region's poverty and the high unemployment rate as an excuse, forgetting to specify that hunting incomes are lower than the costs incurred by Canadian taxpayers! Seal hunting will not relieve regions from their economic poverty, even more so since fur trade is a very unstable market that cannot provide regular income. Very few jobs are created by seal hunting. This seasonal activity represents only 5% of fishermen's incomes and a very small fraction of the East Coast's economy.

With such a stubborn Government of Canada, and with other animal rights associations, Fourrure Torture proposes, among other things, that the Canadian Government replaces this cruel seal hunting with ecotourism, a source of income more reliable than the sale of sealskins, which is subject to market trends.

Polls show that a majority of Canadians, Americans and Europeans are opposed to this cruel and unjustifiable hunting. Indeed, citizens from around the globe give no credibility to the Canadian Government when it uses economic or ecological reasons to justify this massacre. This is why a large part of public opinion wants the Canadian Government to stop promoting hunting. 

In the end, Canada will pay for the barbarity of seal hunting because it will harm its international image. In other words, Canada can only undermine its reputation and its economic interests by subsidizing seal hunting. A final ban is therefore necessary. 

Finally, let's remember what is essential, namely that these animals are not there for our use: they are sentient individuals with perceptions and emotions, thus possessing inalienable rights including the right to life, the right not to be tortured and the right not to be exploited. It is a question of ethics which is high time, in the 21st century, to understand and apply.

FOR A VEGAN WORLD: NO MORE ANIMAL EXPLOITATION.

***

En français :

La chasse aux phoques au Canada est le plus important et le plus cruel massacre de mammifères marins au monde.

Des chasseurs, armés de bâtons, de hakapiks et de fusils, tuent de façon atroce des centaines de milliers de bébés phoques chaque année. Les animaux, principalement massacrés pour leur peau qui sera utilisée par l'industrie de la mode, sont frappés de façon répétée jusqu'à ce que leur cerveau soit broyé. 97 % des animaux tués ont moins de 3 mois. Beaucoup d'entre eux se font retirer leur peau alors qu'ils sont encore conscients. Une équipe de vétérinaires indépendants a démontré en 2001 que jusqu'à 42 % des bébés phoques sont dépecés vivants, et ce quelle que soit la méthode utilisée pour les tuer. Les vidéos prouvent de nombreuses infractions au règlement canadien sur les mammifères marins. L'on peut y voir des bébés phoques saignés ou écorchés vifs et traînés sur la glace au moyen de crochets affûtés...

La chasse aux blanchons est interdite. Un blanchon a moins de 12 jours et a une fourrure blanche, mais lorsque la fourrure commence à changer, la chasse est permise. Or 15 000 fourrures de blanchons et de dos bleus (bébé phoque à capuchon) ont été saisies à Terre-Neuve. Plusieurs chasseurs ont été accusés, dont possiblement Mark Small, le président de l'Association des chasseurs de phoques qui prétendait qu'aucun bébé phoque n'avait été tué. Même si la population de phoques reste abondante, il peut y avoir menace d'extinction.

Des études scientifiques ont prouvé que la surpêche est responsable de la diminution du nombre de poissons, notamment des morues. Le massacre des bébés phoques ne pourra pas contribuer à faire augmenter de nouveau la population de morues. Il n'est pas prouvé que les phoques sont responsables du manque de poissons. Selon les scientifiques, ils mangent peu de morues. Les coupables, ce sont la pêche en amont et les consommateurs de poisson en aval (d'où la nécessité de promouvoir le véganisme comme mode de vie éthique aussi bien pour les animaux que pour l'environnement). Les femelles mangent peu durant la mise bas dans l'Atlantique. Elles retournent ensuite dans l'Arctique où elles se nourrissent principalement de morues arctiques, une espèce non "commerciale". La morue atlantique se retrouve dans moins de 2 1/2 des estomacs échantillonnés.

Les pêcheurs font de la surpêche. Quand il n'y a plus de poissons, il n'y a plus de travail ; les pêcheurs demandent alors des subventions. Cette tuerie d'animaux sans défense supportée par les contribuables canadiens n'est pas viable économiquement. L'écotourisme rapporte des centaines de milliers de dollars. Bien plus que les phoques morts. Alors que le gouvernement canadien prétendait que la chasse aux phoques se justifiait par la raréfaction des poissons dans l'Atlantique et notamment des morues, dont les phoques se nourrissent, voici que cet argument est classé sur le site officiel du gouvernement canadien comme un Mythe ! La Réalité est enfin donnée :

"Plusieurs facteurs ont contribué à entraver le rétablissement des stocks de morue, dont la pêche, la mauvaise condition physique des poissons, leur faible taux de croissance et des changements environnementaux."

La raison de l'effondrement de la population de poissons n'a jamais fait de doute : des années de pêche intensive. Aucune justification ou fondement scientifique ne permet d'établir un lien entre le nombre de phoques et la raréfaction des poissons. Des scientifiques pensent même que la diminution de la population de phoques pourrait aller à l'inverse du but recherché, car les phoques consomment des calmars, qui font partie des prédateurs des morues. Tout le monde est désormais d'accord sur un point : les massacres de phoques ne font pas revenir la population de morues.

Le gouvernement canadien prétexte la pauvreté de la région et le fort taux de chômage, oubliant de préciser que les revenus de la chasse sont inférieurs aux coûts supportés par l'ensemble des contribuables canadiens ! La chasse aux phoques ne fera pas sortir les régions concernées de la pauvreté économique, d'autant plus que le commerce de la fourrure est un marché très instable et ne peut fournir des revenus réguliers. Très peu d'emplois sont créés par la chasse aux phoques. Cette activité saisonnière ne représente que 5 % des salaires des pêcheurs, et une très faible partie de l'économie de la côte Est du Canada.

Devant l'obstination du gouvernement canadien, aux côtés d'autres associations de défense des animaux, Fourrure Torture propose par exemple au gouvernement canadien de remplacer cette cruelle chasse aux phoques par de l'écotourisme, source de revenus plus fiable que la vente de peaux de phoques, soumise aux tendances du marché.

Les sondages révèlent qu'une majorité de Canadiens, d'Américains et d'Européens sont opposés à cette chasse aussi cruelle qu'injustifiable. En effet, les citoyens, aux quatre coins du globe, n'accordent pas de crédibilité au gouvernement canadien, quand il justifie ce massacre pour des raisons économiques ou écologiques. C'est pourquoi une très large partie de l'opinion publique souhaite que le gouvernement canadien cesse de promouvoir la chasse.

Au final, le Canada risque de pâtir de la barbarie de la chasse aux phoques, qui ne peut être que néfaste pour son image internationale. Le Canada ne peut qu'entacher sa réputation et ses intérêts économiques en subventionnant la chasse aux phoques. Une interdiction définitive s'impose.

Enfin, rappelons le principal, à savoir que les animaux nonhumains ne sont pas là pour notre usage : ce sont des individus sentients possédant, de ce fait, des droits inaliénables dont le droit à la vie, le droit de ne pas être torturé, le droit de ne pas être exploité. C'est une question d'éthique qu'il est grand temps, au XXIe siècle, de comprendre et d'appliquer.

 POUR UN MONDE VEGAN ET LA FIN DE L'EXPLOITATION ANIMALE.

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