NON au projet d'abandon du système de retraite des chevaux de la police

Il y a plus de vingt ans, Animaux en Péril a mené

une campagne pour que les chevaux de la
gendarmerie puissent bénéficier d’une retraite bien
méritée.
Après un an de lutte et de lobbying, l’association,
massivement soutenue par la population, a
finalement obtenu victoire. Depuis lors, les équidés
écartés du service actif ne sont plus vendus sur les
marchés aux chevaux de boucherie, mais placés à
l’adoption avec des conditions de détention strictes
 
qui garantissent à ces animaux une retraite
heureuse. Aujourd’hui, l’association Animaux en Péril
entend protéger l’avancée acquise en 1991, et
sauvegarder le bien-être d’équidés qui travaillent
au service du pays.
Quel est le problème ?
Un plan radical d’économie au sein des forces de la
police fédérale est actuellement à l’étude au
Ministère de l’Intérieur.
La réforme suggère, entre autres, le remplacement
de la formule d’adoption, actuellement pratiquée,
par la vente pure et simple des chevaux réformés de
la police. Si cette mesure ne représente qu’une
économie insignifiante pour l’État, elle provoquerait
en revanche une régression inacceptable du statut
et du bien-être des animaux concernés. En effet,
après application de cette réforme, chaque acheteur
deviendrait pleinement propriétaire de son cheval. Il
pourrait donc en disposer comme bon lui semble, sans
restriction ni contrôle. Les équidés pourraient être
exploités dans des centres équestres, servir à la
reproduction, être revendus ou exportés. En outre,
aucune des conditions de détention imposées
actuellement aux adoptants ne pourrait être
rendue obligatoire aux acheteurs.
Le 17 mai 2013, Animaux en Péril adressait une
lettre ouverte à la Ministre de l’Intérieur Joëlle
Milquet à ce sujet. Le 19 juillet, en réponse à ce
courrier, la Ministre a confirmé que le projet était
actuellement étudié par son cabinet. Réagissant le
jour même par le biais d’une seconde lettre ouverte,
l’association a demandé avec insistance à Joëlle
Milquet de ne pas modifier les conditions de mise à
la retraite des chevaux réformés de la police. À
l’heure actuelle, ce courrier reste sans réponse et 4
chevaux ont déjà été vendus aux enchères.

Il y a plus de vingt ans, Animaux en Péril a mené


une campagne pour que les chevaux de la


gendarmerie puissent bénéficier d’une retraite bien


méritée.


Après un an de lutte et de lobbying, l’association,


massivement soutenue par la population, a


finalement obtenu victoire. Depuis lors, les équidés


écartés du service actif ne sont plus vendus sur les


marchés aux chevaux de boucherie, mais placés à


l’adoption avec des conditions de détention strictes


qui garantissent à ces animaux une retraite


heureuse. Aujourd’hui, l’association Animaux en Péril


entend protéger l’avancée acquise en 1991, et


sauvegarder le bien-être d’équidés qui travaillent


au service du pays.


Quel est le problème ?


Un plan radical d’économie au sein des forces de la


police fédérale est actuellement à l’étude au


Ministère de l’Intérieur.


La réforme suggère, entre autres, le remplacement


de la formule d’adoption, actuellement pratiquée,


par la vente pure et simple des chevaux réformés de


la police. Si cette mesure ne représente qu’une


économie insignifiante pour l’État, elle provoquerait


en revanche une régression inacceptable du statut


et du bien-être des animaux concernés. En effet,


après application de cette réforme, chaque acheteur


deviendrait pleinement propriétaire de son cheval. Il


pourrait donc en disposer comme bon lui semble, sans


restriction ni contrôle. Les équidés pourraient être


exploités dans des centres équestres, servir à la


reproduction, être revendus ou exportés. En outre,


aucune des conditions de détention imposées


actuellement aux adoptants ne pourrait être


rendue obligatoire aux acheteurs.


Le 17 mai 2013, Animaux en Péril adressait une


lettre ouverte à la Ministre de l’Intérieur Joëlle


Milquet à ce sujet. Le 19 juillet, en réponse à ce


courrier, la Ministre a confirmé que le projet était


actuellement étudié par son cabinet. Réagissant le


jour même par le biais d’une seconde lettre ouverte,


l’association a demandé avec insistance à Joëlle


Milquet de ne pas modifier les conditions de mise à


la retraite des chevaux réformés de la police. À


l’heure actuelle, ce courrier reste sans réponse et 4


chevaux ont déjà été vendus aux enchères.

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