Regardons les faits : accélérer la vaccination des personnes atteintes d’un trouble neurocognitif

Le lien est évident : 41 % des femmes et 36 % de tous les Canadiens décédés à cause de la COVID-19 avaient reçu un diagnostic de trouble neurocognitif, ce qui en fait la comorbidité la plus répandue associée aux décès provoqués par la COVID-19 au Canada.  L'âge est le facteur de risque le plus important associé aux troubles neurocognitifs et à la COVID-19 : 94 % des Canadiens décédés de la COVID-19 l'année dernière étaient des aînés, et un Canadien sur quatre de plus de 85 ans en est atteint.

Les personnes atteintes d'un trouble neurocognitif présentent un risque plus élevé de mortalité associée à la COVID-19, qu'elles vivent chez elles ou dans un établissement de soins de longue durée. Grâce à l'approvisionnement stable et de plus en plus important de vaccins, l'Ontario est maintenant en mesure de déployer les deuxièmes doses plus rapidement et plus largement. Les personnes atteintes d'un trouble neurocognitif qui vivent chez elles doivent être protégées aussi vite que possible.

L'Ontario doit agir dès à présent pour inoculer entièrement cette population vulnérable et les personnes qui en prennent soin. L'administration de la deuxième dose, selon la date à laquelle la personne a reçu la première injection ne suffit pas : de nombreux Ontariens atteints d'un trouble neurocognitif font face à des écueils pour accéder à une clinique de vaccination pour leur premier rendez-vous, et cela pourrait prendre des mois avant qu'ils ne puissent bénéficier d'une protection optimale contre la COVID-19 en vertu du plan provincial actuel.

Monsieur le premier ministre Ford et M. le docteur David Williams : agissez dès maintenant pour protéger les personnes les plus à risque.  

  • Réduisez l'intervalle de temps entre les injections à 42 jours maximum pour les personnes atteintes d'un trouble neurocognitif quel que soit leur âge ou le moment où elles ont reçu la première injection.
  • Contacter les personnes atteintes d'un trouble neurocognitif qui vivent chez elles pour prendre rendez-vous pour la deuxième injection, et cela de manière proactive.
  • Élargissez les critères d'admissibilité aussi vite que possible pour que ceux-ci comprennent les partenaires de soins. 
 

Faites entendre votre voix. Les personnes atteintes d'un trouble neurocognitif, quel que soit l'endroit où elles vivent, doivent être protégées, et l'administration plus rapide de la deuxième dose est l'une des meilleures façons d'y parvenir.

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