La justice pour la famille de Akher Khabr
- by: Journal Akher Khaber
- recipient: Les Composantes de la société civile et nos Mes collègues de la profession
Le 25 Mai 2014 La journaliste d’Akher Khabar, Dorra Gharbi a déclaré lors de l’émission « A la page » sur Mosaïque FM, que des agents de sureté et des militaires sont impliqués dans le terrorisme et que certains d’entre eux ont aidé des terroristes à s’évader après les affrontements avec les forces de sureté à Jendouba. Au cours de cette entrevue, plusieurs informations classées top secret ont été révélées dont celle relative à l’appareil sécuritaire secret appartenant au mouvement islamiste Ennahdha et qui continuerait à recruter des agents de la sécurité et de l’Armée nationale. Le rédacteur en chef de l’hebdomadaire Akher Khabar, Taoufik Ayachi ainsi que le journaliste du même média, Moez El Bey seront traduits mardi 07 juillet 2014 devant le tribunal de première instance de l’Ariana en vue d’étudier la demande d’opposition présentée par le comité de défense à leur profit.
L’opposition concerne la condamnation par contumace contre les deux journalistes après qu’une plainte ait été déposée à la suite de la publication d’une interview effectuée avec l’ancien directeur des renseignements militaires, Moussa Khalfi. Notons qu’une centaine d’avocats se sont portés volontaires pour défendre le journal Akher Khabar.
Le 11 Juillet 2014 l'équipe de Journal Akher Khabar décide de prendre en cause les verdicts de juge d'instruction contre l'entrepreneur de journal Abderraouf Khalfallah , Faisant appel aux composantes de la société civile et alliés , Afef charradi l'une des membres de bureau exécutif organise un marche pacifique sous prétexte de liberté d'expression et sous contrôle de l'autorité Tunisienne et de la ligue de droit de l'homme .
Le 11 Juillet 2014 , arrestation de Afef Charradi en vue d'enquête , condamnée d'avoir organiser une manifestation sans avoir permis de ministère d'intérieur. Libérées après deux heures d'enquête accompagnee d'une torture morale , Afef charradi et Dora Ghrabi accusent les Dispositifs judiciaires et de sécurité ainsi que le gouvernement de Ali Laarayadh d'exercer serte des pratiques d'oppression sur les journalistes qui cherchent les révélations des mains invisibles qui induit le terrorisme en Tunisie .
Le 25 Mai 2014 La journaliste d’Akher Khabar, Dorra Gharbi a déclaré lors de l’émission « A la page » sur Mosaïque FM, que des agents de sureté et des militaires sont impliqués dans le terrorisme et que certains d’entre eux ont aidé des terroristes à s’évader après les affrontements avec les forces de sureté à Jendouba. Au cours de cette entrevue, plusieurs informations classées top secret ont été révélées dont celle relative à l’appareil sécuritaire secret appartenant au mouvement islamiste Ennahdha et qui continuerait à recruter des agents de la sécurité et de l’Armée nationale. Le rédacteur en chef de l’hebdomadaire Akher Khabar, Taoufik Ayachi ainsi que le journaliste du même média, Moez El Bey seront traduits mardi 07 juillet 2014 devant le tribunal de première instance de l’Ariana en vue d’étudier la demande d’opposition présentée par le comité de défense à leur profit. L’opposition concerne la condamnation par contumace contre les deux journalistes après qu’une plainte ait été déposée à la suite de la publication d’une interview effectuée avec l’ancien directeur des renseignements militaires, Moussa Khalfi. Notons qu’une centaine d’avocats se sont portés volontaires pour défendre le journal Akher Khabar. Le 11 Juillet 2014 l'équipe de Journal Akher Khabar décide de prendre en cause les verdicts de juge d'instruction contre l'entrepreneur de journal Abderraouf Khalfallah , Faisant appel aux composantes de la société civile et alliés , Afef charradi l'une des membres de bureau exécutif organise un marche pacifique sous prétexte de liberté d'expression et sous contrôle de l'autorité Tunisienne et de la ligue de droit de l'homme . Le 11 Juillet 2014 , arrestation de Afef Charradi en vue d'enquête , condamnée d'avoir organiser une manifestation sans avoir permis de ministère d'intérieur. Libérées après deux heures d'enquête accompagnee d'une torture morale , Afef charradi et Dora Ghrabi accusent les Dispositifs judiciaires et de sécurité ainsi que le gouvernement de Ali Laarayadh d'exercer serte des pratiques d'oppression sur les journalistes qui cherchent les révélations des mains invisibles qui induit le terrorisme en Tunisie
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